Potager connecté : fonctionnement et différents types

Si vous aimez faire la cuisine, vous savez qu’il est indispensable d’avoir des herbes aromatiques à portée de main. Cela fera économiser du temps, au lieu vous rendre au marché pour en acheter. Posséder un potager connecté constitue donc une solution avantageuse. Toutefois, avant de choisir le vôtre, il est primordial de connaître les différents types de potager connecté qui existent et de connaître leur fonctionnement. Pour en savoir plus à ce sujet, suivez le guide.

Le fonctionnement du potager connecté

Les potagers connectés, ou potagers smart, fonctionnent de manière automatique grâce à des accessoires spéciaux. Par exemple, ils sont équipés de capsules destinées à contenir des graines. Celles-ci doivent être placées à l’intérieur. Pensez à bien mettre un couvercle transparent juste après. De cette manière, vous pourrez voir comment évoluent vos plantes. Certains modèles de jardin connecté possèdent un réservoir d’eau servant à hydrater les plants de façon optimale. Grâce à une application installée sur votre téléphone portable, vous saurez quand ou comment entretenir le potager, grâce à des notifications.

L’application en question renferme aussi un tutoriel qui vous fournira les informations nécessaires sur l’entretien des plantes. Elle permet également de gérer la luminosité, afin que celles-ci puissent bénéficier de la lumière nécessaire pour se développer. En fonction du modèle, vous pouvez aussi disposer de capteurs qui vous permettront de suivre l’évolution des plantes à partir de votre smartphone. Ces accessoires vous renseigneront notamment sur le taux d’engrais et d’humidité, sur la température, ambiante, etc.

Le potager connecté ne nécessite donc aucune compétence particulière. Le plus souvent, il est livré avec un manuel d’utilisation pour vous expliquer son fonctionnement. Certes, les différents de modèles proposent souvent des spécificités différentes. Toutefois, leur mode d’utilisation est quasiment le même, malgré leurs différences. Ainsi, tous les potagers connectés fonctionnent plus ou moins sur le même principe. Il suffit de suivre à la lettre les instructions présentes dans le mode d’emploi pour permettre aux plantes de bien pousser.

Les différents types de potager connecté

Vous trouverez dans le commerce différents types de potagers connectés. Si vous aimez la simplicité, le Smart Lilo (prêt à pousser) fera parfaitement l’affaire. Commencez par remplir les réservoirs d’eau et placez les capsules pleines de graines et de nutriment dans des pots. Ensuite, vous devez brancher le potager pour qu’il soit entièrement opérationnel. Le Smart Lilo vous offre une grande variété de choix en termes de plantes. Vous pouvez choisir parmi une quarantaine d’espèces.

Ajoutez à cela une installation rapide, ainsi que la possibilité de déplacer les plantes dans des jardinières. De plus, vous pouvez utiliser des graines autres que celles qui ont été fournies. Par ailleurs, vous pouvez utiliser votre propre terreau pour la plantation. Le Smart Lilo possède aussi un design unique permettant d’apporter plus d’esthétique à votre maison. Elle fonctionne toute l’année et vous bénéficiez d’un SAV réactif en cas de besoin.

En outre, si vous préférez les modèles modulables, préférez le Veritable Indoor Garden. Celui-ci va plus loin que le Smart Lilo. En effet, il propose jusqu’à 70 variétés de plantes disponibles sur commande. Ce type de potager est aussi équipé d’un système d’éclairage automatique pouvant éclairer pendant 16 heures d’affilée. Le dispositif utilise des LED basse consommation pour permettre de réaliser des économies. De plus, vous pouvez jusqu’à 4 plantes simultanément.

Les mâts d’éclairage de ce type de potager connecté sont réglables en hauteur. Ainsi, vous pouvez les ajuster à la taille de vos plantes. Et quand le réservoir d’eau est vide, vous recevrez un signal lumineux pour vous en avertir. Le Veritable Indoor Garden permet aux plantes de pousser rapidement. Néanmoins, il n’est pas recommandé si vous vivez dans un studio, car le dispositif d’éclairage émet aussi de la lumière bleue. Celle-ci est potentiellement dangereuse si elle est allumée pendant 16 heures.